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Jacques Replat
Voyage au long cours sur le lac d'Annecy
SUIVI DE LA MAISON DE ROUSSEAU
Le point de départ de ce Voyage au long cours sur le lac d’Annecy – publié en 1858 et jamais réédité depuis 1867 – est une idée saugrenue : se rendre sur les plus hautes montagnes en traversant, sur le lac, leurs reflets.
Jacques Replat entraîne sa bande d’amis – et ses lecteurs – d’Annecy à Menthon, de Talloires à Duingt, et sur les plus hautes montagnes, en traversant, sur le lac, leurs reflets.
Un récit entre le souvenir personnel et l'évocation historique, entre le réel et l’imaginaire.
La présente édition est fondée sur les deux seules qui existent : celle de 1859, du vivant de l'auteur, celle de 1867, au lendemain de sa mort, augmentée par son éditeur et ami Jules Philippe.
Notre édition 2022
Dans notre éditions 2022 Le Voyage au long cours sur le lac d'Annecy est suivi de La Maison de Rousseau, autre récit de Jacques Replat, extrait de Feuilles d'album (1876).
Avertissement, notes et postface de Rémi Mogenet , membre associé de l'Académie de Savoie.
Attention > ne vous trompez pas ! Nous proposons une autre édition du Voyage au long cours... Voir notre édition 2016: Le voyage au long cours sur le lac d'Annecy précédé de Ascension au Semnoz.
Jacques Replat
Voyage au long cours sur le lac d'Annecy, suivi de La Maison de Rousseau
Coll. Mondes Ouverts.
Récit.
ISBN- 978-2-919117-49-9
Le livre broché
Disponible.
Paru le 02/08/2022
Format 14 * 21,6 cm,
136 pages
Prix : 15.00€
PRESSE - MÉDIAS
08/08/2022 - Une chronique sur le blog genevois de Rémi Mogenet.
247/08/2022 - Une chronique sur Lettres du mont Blanc, le carnet de Rémi Mogenet sur la littérature de l'ancienne Savoie.
25/09/2022 - L'Annécien Jacques Replat réédité", article dans le Dauphiné libéré.
EXTRAIT(S)
« Nous croyons que ce texte, à la fois historique et poétique, mêlant le personnel et le général, et foncièrement romantique, peut encore intéresser le lecteur contemporain. » Rémi Mogenet.
« Jetez, je vous prie, un regard sur le lac : les montagnes renversées se dessinent dans sa transparence avec autant de netteté, avec autant de fraicheur qu’au milieu du céleste azur qui baigne leurs sommets. Voyez cette barque qui a laissé un sillage doré sous la presqu’île d'Albigny : ne dirait-on pas qu’elle touche aux prairies des chalets ? Un instant j’ai craint pour sa coquille ; elle semblait devoir se briser contre les bancs de roc qui couronnent le Parmelan. Eh bien ! me suis-je demandé avec une simplicité qui m’honore, pourquoi ne suivrions-nous pas la voie si bien indiquée par le sillage de cette barque ? Sans fatigue, sans guide et sans mulet, nous pourrions faire ainsi des ascensions aussi intéressantes que variées, sur toutes les montagnes qui viennent se mirer dans nos eaux limpides. »