Simon Estrangin Traversations

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SIMON ESTRANGIN

Traversations sud-américaines

VERS UNE GÉOGRAPHIE DU VOYAGE

Traversations sud-américaines est au premier abord un récit de voyage personnel en Argentine, en Bolivie, au Pérou, au Chili et en Patagonie. Il est question des sites incontournables (Cuzco, Chiloé…) et de rencontres avec les habitants et avec d’autres voyageurs tout au long de la route. Ce récit est aussi une réflexion sur le voyage et sur la géographie, deux thèmes sur lesquels l’auteur propose ses points de vue en questionnant les paysages, les hommes qui y vivent, des philosophes, des naturalistes, des géographes.


Simon Estrangin

Traversations sud-américaines. Vers une géographie du voyage

Coll. Mondes Ouverts

Récit

ISBN- 978-2-919117-21-5

Le livre broché

Disponible.

Paru le 02/06/2014

Format 14*20.5 cm,

160 pages + ill.

Prix : 15.90€

Frais d'envoi

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PRESSE - MÉDIAS

«Simon Estrangin est l'auteur d'un très beau recueil de voyage.» Sur le site Le Cartographe .

Une chronique sur le site Les Cafés Géographiques , janvier 2015.

«S'il n'y avait qu'un livre dans vos bagages cet été, ce devrait être celui-ci. 154 pages délicieuses, poignantes.» Chronique dans la revue La Géographie, avril-juin 2015.

«Simon Estrangin : la révélation de l'année 2015 », site Geographica , le 15 juillet 2015.

EXTRAIT

« Avant de partir je ne savais quasiment rien d'Alexandre de Humboldt, disons rien de bien sérieux, à part peut-être l'introduction de son voyage aux régions équinoxiales qui m'avait profondément touché – et je vais revenir là-dessus. Sinon, mes idées se résumaient à peu de formules : père de la géographie et second découvreur de l'Amérique, titres acquis à la suite de son voyage en Amérique latine entrepris à 29 ans en compagnie d’Aimé Bonpland qui en avait, lui, 26, de 1799 à 1805, traversée du Venezuela, de Cuba, puis arrivée à Cartagena d'où part la troisième grande partie de leur voyage à travers les Andes jusqu'à Lima. Après quoi le Mexique et un crochet aux États-Unis avant de rejoindre l'Europe. Tout ceci faisait avec mon propre parcours de géographe-voyageur en Amérique un lien parfaitement délirant et mégalomane, et donc idoine à ce projet des origines que j'ai exposé. C'est donc en cours de route que je me suis véritablement plongé dans sa lecture. Cet aveu me fait perdre un prédécesseur. J'y ai gagné une rencontre. »

Extrait de la préface de Franck Michel.

« Au final, si Simon Estrangin a entamé son « voyage comme un envers », il nous offre ici un essai de géographie délicieusement iconoclaste qu’il définit lui-même comme « un texte qui va de travers ». Alors, pour conclure cette brève préface, je me souviens de cette pensée chinoise d’antan qui indiquait sans mauvais tours la bonne voie à emprunter : « le détour est la voie la plus droite ». Et l’essayiste (…) sait pertinemment, son texte justement l’atteste avec brio, qu’on avance bien et réellement que sur des chemins de traverse. Dans la vie comme sur la route. »

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